Allaitement : pour un sevrage en douceur

Parfois, le démarrage d’un allaitement peut être difficile. Douleurs, difficulté de trouver LA bonne position, manque de confiance en soi, plein de petits soucis qui font qu’on peut vite baisser les bras…Et souvent, le sevrage reste également une étape difficile à vivre pour la maman mais aussi pour son bébé. L’OMS recommande depuis 2001 un allaitement maternel exclusif pendant les 6 premiers mois de la vie, mais parfois, le sevrage intervient + tôt. On fait le point !

Il y a quelques temps, les Laboratoires Guigoz ont d’ailleurs organisé un live sur ce sujet sur leur compte instagram. Je vous invite à le visionner ici si vous êtes concernées. Vous pourrez y retrouver plein de conseils mais aussi des partages d’expérience autour du sevrage, afin de vivre cette étape le + sereinement possible. Quels sont les différents types de sevrage qui existent ? Quelles sont les astuces à connaître ? Vous y trouverez forcément des réponses à vos questions.

Quant à moi, je vous en avais déjà parlé ici, mais j’avais rencontré pas mal de difficultés lorsque j’ai souhaité sevrer Joey. Au final, je l’ai allaitée 5 mois en exclusif, et à son entrée à la crèche, on était passé en allaitement mixte.

Elle prenait le sein le matin et le soir, et quand elle était à la crèche, des biberons de lait de suite. Sauf que l’introduction du biberon a été très fastidieuse ! Cette petite demoiselle refusait catégoriquement le biberon, même avec mon propre lait que je tirais. Il a donc fallu s’armer de patience et de courage pour que tout se mette en place.

Je vous raconte d’ailleurs toute mon expérience de l’allaitement et du sevrage dans un des épisodes du podcast « Parlons bébé – le sevrage » qui est en ligne sur le site de Guigoz juste ici et sur toutes les plateformes d’écoute.

En attendant, je voulais partager avec vous aujourd’hui mes 5 astuces & conseils pour que le sevrage de votre allaitement se fasse tout en douceur :

1.Faites-vous confiance !

On vous l’a peut-être déjà dit, mais il faut absolument que vous vous sentiez prête à sevrer votre bébé. Ces petits bouts sont des éponges et ressentent toutes vos émotions. Si jamais vous n’êtes pas totalement prête à le sevrer, et qu’il s’agit + d’une contrainte plutôt que d’un choix, ça ne fonctionnera pas. Et je pense que c’est une des raisons pour lesquelles ça n’a pas fonctionné tout de suite chez nous. Même si j’avais décidé de la sevrer, je n’étais pas totalement prête je crois ! Et elle l’a très bien ressenti.

2. Sevrer en douceur !

On ne stoppe pas son allaitement du jour au lendemain ! Faites-le en douceur. Commencez par supprimer les tétées une par une (idéalement, on commence par celles de la journée), et augmentez la cadence quelques jours + tard. Votre corps continuera à produire du lait, mais en quantité + faible. Si toutefois vous ressentez des douleurs, n’hésitez pas à exprimer votre lait manuellement (comme par exemple en massant les seins sous une douche bien chaude) pour éviter les engorgements. A la toute fin, je ressentais des douleurs assez intenses, que j’ai réussi à calmer avec du doliprane et de l’homéopathie (n’hésitez pas à demander conseil à votre médecin/pharmacien)

3. Persévérez !

Sachez que le sevrage peut prendre du temps. Si toutefois votre bébé refuse le biberon, n’hésitez pas à lui re-proposer chaque jour, à la même heure. On évite de lui proposer le biberon dès le réveil (où il est affamé), mais par exemple, celui du déjeuner ou du goûter.

4. Chauffez le lait !

Que ce soit votre lait ou du lait en poudre, n’hésitez pas à investir dans un chauffe-biberon. Un bébé allaité boit du lait à 37°, il est normal qu’il refuse du lait à température ambiante. Il nous a fallu une bonne semaine avant d’investir dans un chauffe-biberon, et j’aime à croire que c’est ce qui a fini par fonctionner !

5. Déléguez !

N’hésitez pas à inclure le co-parent dans cette phase de sevrage. Il faut que vous formiez une team ! Même si c’est très dur (je vous en parle en connaissance de cause), n’hésitez pas à vous absenter toute une après-midi et à laisser le papa/co-parent gérer ! Faites-lui confiance et faites confiance à votre bébé


En savoir + sur le lait de suite Evolia a2 de Guigoz :

Et qui dit « Sevrage de l’allaitement », dit « choisir le bon lait de suite ». Et parmi toutes les références présentes sur le marché, comment s’y retrouver? Et surtout comment choisir le lait de suite qui convienne le mieux à votre bébé? Si je vous en parle aujourd’hui, c’est parce que quand le moment du choix du lait de suite s’est présenté, c’est vite devenu un vrai casse-tête ! A l’époque, j’avais d’ailleurs opté pour leur lait 2ème âge Guigoz BIO, Joey l’avait accepté sans souci, et on l’utilise encore aujourd’hui. C’était donc tout naturel pour moi d’accepter de vous parler de leur nouveauté aujourd’hui.

En plus d’avoir proposé un lait validé par Joey, c’est une marque qui est experte depuis plus de 100 ans sur les laits infantiles. Derrière Les Laboratoires Guigoz ce sont des équipes en veille permanente, non seulement sur les attentes des parents, mais aussi sur ce qui se fait de meilleur en matière d’ingrédients et de nutrition pour offrir uniquement des produits de qualité.

Inspirés de 60 ans de recherche sur le lait maternel, ils ont développé GUIGOZ Evolia a2, le premier lait de suite au lait a2. Ce lait contient une combinaison unique d’ingrédients pour répondre aux besoins nutritionnels de votre bébé en relais ou en complément de l’allaitement maternel pour un sevrage tout en douceur dès 6 mois jusqu’à 1 an, conformément à la réglementation sur les laits de suite.

Ce lait de suite Evolia a2 contient :
– Du lait a2, issu de vaches soigneusement sélectionnées qui ne produisent naturellement que de la bêta-caséine a2.
– Une qualité et une quantité de protéines ajustées
-Du DHA (acide docosahexaénoïque) de la famille des Oméga 3, issu de l’huile de poisson, et de l’acide alpha-linolénique qui contribue au développement normal du cerveau
– Du Zinc qui contribue à la croissance normale et du Fer pour le développement cognitif normal.
– Des vitamines D, A et C qui contribuent au fonctionnement normal du système immunitaire

Qu’est-ce que le lait a2 a de si particulier ?

Au fil des siècles, le patrimoine génétique des vaches a changé… et leur lait aussi. Ces transformations progressives ont conduit à la modification de la structure des protéines du lait, et la protéine d’origine, la protéine bêta-caséine a2, est devenue très rare.

Aujourd’hui, pour obtenir du lait infantile a2, il faut donc prendre soin de sélectionner des vaches qui fournissent naturellement et exclusivement de la bêta-caséine a2, mais qui sont plus rares que les autres !

Personnellement, je ne connaissais pas du tout l’existence de cette protéine a2. Vous connaissiez vous ?

En savoir + sur GUIGOZ® Evolia a2

En collaboration avec Les Laboratoires Guigoz

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